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Langage et simulation

Dans une communication du savoir, l'émetteur emploie un langage construit avec un nombre réduit d'éléments compréhensibles par le récepteur. Une structure complexe combine des assemblages simples avec un champ d'action spécifique.
Des actions conjuguées peuvent conduire à un, voire plusieurs résultats répondant aux différents niveaux des receveurs qui, en lecture, s'assimilent au nouveau langage au fur et à mesure qu'ils peuvent en user en réflexion et trouver des liaisons avec son savoir antécédent, le déconditionnement étant la première condition pour éviter toute référence inadéquate et la simulation par des exemples concrets est l'ABC dans l'apprentissage d'un nouveau langage.
Cette méthode permet de tester la récursivité de l'émission/réception d'où peut se construire le dialogue, les actions pour des réactions conduisent à des prises de positions allant jusqu'à la décision d'agir après un bilan évaluant ses possibilités, ses moyens propres et son temps disponible, à travers un schéma concrétisé par une imagerie personnalisée et par des impressions à la mesure de son optique.
Ainsi la vraie base que j'ai perçue est faite seulement de trois éléments placés en triangle dont la considération à partir d'un point crée un volume qui se reflète par prolongement dans mon espace personnel dont je découvre des possibilités par effet miroir, la résonance faisant vibrer une confirmation sur le chemin parcouru des résultats obtenus par la simplicité du mécanisme employé.

Les 3 éléments de la vraie base, aperçus par louviou

Les 3 éléments de la vraie base dans divers contextes:
- (ROUGE-VERT-BLEU) les 3 luminophores du pixel
- (3D) le relief de la géométrie dans l'espace
- (PASSE-PRESENT-FUTUR) du temps qui passe
- (NEGATIF-ZERO-POSITIF) état de santé, calcul, action

Le trio le plus important est (CLIM-RENOVATION-SAMU) avec les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes qui composent notre sang.
Les globules rouges assurant la climatisation de notre corps qui se consume à la chaleur moyenne de 37 degrés centigrades, en apportant à notre organisme de l'oxygène inhalé par les poumons. Ils y amènent ensuite le gaz carbonique issu de la combustion et qui est rejeté hors de notre corps.
Les globules blancs travaillent à la restauration de notre corps en allant se ravitailler en matières premières aux intestins pendant nos digestions pour remplacer, reconstruire, se défendre contre les agressions et nous préparer à assurer notre continuité dans le Temps par nos enfants qui prendront les relais.
Les plaquettes assurent l'étanchéité du réseau de vaisseaux sanguins dans lequel circule notre sang avec ses trois éléments baignés dans le plasma, réseau semblable à celui de notre circulation urbaine et qui comprend un circuit de recyclement du sang qui s'épure à travers les reins en laissant dans la vessie l'urine dont le volume journalier est le reflet de l'état de santé de notre sang.
Ce liquide vital qui nous habite nous assigne au rôle en propriétaire d'un logement où il squatte et dont toutes les parties ont été construites par ce sang qui a fabriqué le cerveau, entr'autres, destiné à gérer la bon fonctionnement de cette usine à transformer la Nature en VIE par le SANG, ce Feu qui se propage d'être en être tel un incendie résultant de la propagation dans l'espace de l'énergie première depuis le Grand BANG, la sève étant le sang du monde vivant végétal.
L'Amour attire deux éléments chargés d'électricité statique contraire, afin d'assurer, dans une formidable explosion démographique pour ne pas dire nucléaire car plus lente mais plus puissante dans le Temps, la relève par nos enfants les remplaçants à cet holocauste qui condamne les vivants à la fin certaine de chaque être.
Rien de nouveau sous le Soleil sinon la recherche de récursivité dans mon raisonnement pour une longévité et pourquoi pas l'immortalité dans le physique.

Décomposition de la lumière

La vraie base est la lumière propagée sphériquement dans son entité depuis le centre qui est la source. Un sujet directement éclairé reçoit une quantité de lumière inversement proportionnelle au carré de sa distance au point d'émission de la lumière d'origine. Le décalage d'un point de vue par rapport à la source crée une décomposition prismique de La Lumière Blanche Originale en un spectre matérialisé dans le cas de l'arc-en-ciel et qui est indépendant de la couleur propre du sujet vu.
L'oeil est le sommet du cône de vision dont la base est la surface regardée et dont l'axe forme avec celui de la source d'éclairage l'angle d'incidence qui gère le spectre lumineux des couleurs vues sur l'image. Ainsi, lorsqu'on se déplace d'un point de vue à un autre, les couleurs des lumières vues changent et une image et ses couleurs sont propres à un point de vue unique.
Donc à chaque endroit d'image, il y a la couleur du sujet qui part du Noir (sans élairage), les couleurs de la lumière reçue décomposée par le spectre en fonction des angles d'incidence. La brillance ou la transparence du sujet modifient selon le cas une diminution par éparpillement ou une augmentation par concentration de la lumière reçue. La profondeur de champ, distance de l'oeil au sujet, crée le flou/netteté contribuant au relief qui devient total par nos deux yeux formant un système de vue stéréoscopique par deux images vues se chevauchant horizontalement selon le point de visée dans le volume regardé, chaque image étant transparente en dehors des zones opaques de superposition.

L'artiste ne peint une image que d'un seul point de vue mais qui sera regardée par les deux yeux de chaque spectateur dont il est, de prime abord, le premier.

En conclusion, le sujet est à peindre dans sa couleur propre plus ou moins assombrie vers le Noir avec les couleurs issues de la décomposition de la lumière reçue.
Dans une toile, je pars d'un fond noir sec afin que le Noir ne se mélange pas avec les couleurs posées, pour monter la couleur de l'image dont la luminosité peut atteindre le Blanc dans le cas d'une brillance ou d'une transparence maximale dans l'axe de la source à l'oeil, chaque point (endroit) d'image recevant en outre les couleurs des lumières de réflexion des objets ou volumes environnants.

Les teintes "objet-lumière-réflexion" sont à traduire par les couleurs de ma palette et comme je pratique le pointillisme, ce sont les points de couleurs d'un endroit d'image qui créent par synthèse sa teinte.


Des exercices pratiques permettent de confirmer cette hypothèse suite à mes essais en peinture

 

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